International Conference: What Matters in Contemporary Anglophone Cultures

International Conference: What Matters in Contemporary Anglophone Cultures 

Université Paul-Valéry Montpellier 3 (EA741 EMMA : Études Montpelliéraines du Monde Anglophone)

Université Paul-Valéry Montpellier 3
13-14 mars 2025

 

Organisateurs.rices: Jean-Michel Ganteau, Marc Lenormand et Sandrine Sorlin, EMMA, Université Paul-Valéry Montpellier 3

cfp_what_matters_frenchenglish.pdf


Compter

Les termes « What Matters » sont une invitation à repenser le poids des habitudes, des structures établies ou des catégories validées. Ce qui compte s’oppose au compte que l’on tient dans un sens économique et qui est souvent le fait d’un pouvoir dominant qui tient les comptes précisément, en compilant ou capitalisant, en tentant de contenir ou de maîtriser. What matters invite à rendre compte de ce qui ne semble pas compter, ce qui relève d’un impensé, d’une injustice ou d’une invisibilisation (Fricker 2007, Le Blanc 2009).

« What matters » pose donc immédiatement une série d’enjeux politiques portant sur ce qui compte / ceux qui comptent : celles et ceux dont les vies comptent, de manière singulière ; celles et ceux dont les vies ne comptent pas ou ne sont pas comptées, ou au contraire dont les existences sont comptabilisées seulement de manière quantitative ou statistique (Bond et al. 2020, Butler 2009, De Leon & Wells 2015, Drakulich et al. 2021) ; les autorités (de différents ordres) qui procèdent à cette comptabilité après avoir encodé ce qui rentre en compte / ceux qui rentrent en compte ou pas (Callahan et al. 2006, Drakulich 2015, Thévenot 1983) ; les média(tisa)tions par lesquelles circulent ces opérations de sélection, différenciation, hiérarchisation et discrimination (Dixon 2004, Simmons 2017, Zhang et al. 2019) ; les actions individuelles ou collectives visant à faire reconnaître que des voix comptent, ou au contraire à les faire taire (Brown et al. 2021, Francis & Wright-Rigueur, Taylor 2016).

La question « What matters » interroge le type de crise qu’elle révèle, voire qu’elle déclenche. Dans des crises dont les manifestations sont directement accessibles, la question « What matters » n’est pas immédiatement pertinente, car elle suppose que l’on s’interroge sur ce qui n’apparaît pas naturellement comme étant important. La question « What matters » fait référence à la présence cachée ou en creux, par défaut peut-être, d’un point problématique. Elle a partie liée au repérage des angles morts ou points aveugles. Elle tente de déterminer la pertinence théorique, éthique et politique de ce qui compte et qui ne serait pas directement perceptible (Laugier 1999). Elle pose donc l’existence elle-même critique d’une crise caractérisée par une forme de phénoménologie négative (Le Blanc 2009).

Pour répondre à « What matters », il faut en effet être en mesure de percevoir ce qui compte et qui n’est pas visible, pas audible, pas touchable, etc. pour réparer le tort de l’invisibilité, de l’inaudibilité, etc. « What matters » nous invite à nous poser la question des cadres de perception et d’intelligibilité (Butler 2009), de se rendre compte qu’il en existe, et par ailleurs d’en interroger la pertinence. Il faut se garder par ailleurs de favoriser une démarche qui privilégierait le visuel au détriment de l’acoustique ou de l’haptique, afin de se défier de biais perceptuels et de la prévalence du visuel dans la détection des vulnérabilités. La question du témoin se pose de manière multiple.

 

Réparer, incarner

De cela découle la fonction réparatrice du questionnement sur « What matters » qui se préoccupe d’un (manque de perceptibilité affectant un) tort et s’attache à le combler ou à le redresser. Face à un déficit de perception qui crée un différend, le sujet éthique qui s’interroge sur ce qui compte s’ordonne à soigner. De ce point de vue, les affinités avec les éthiques du care ne doivent pas être négligées (Tronto 2015). En effet, se poser la question de l’importance (Diamond 1996) implique de s’intéresser à l’autre dans sa vulnérabilité, donc de prêter attention à des situations particulières et de prendre en compte l’altérité dans sa singularité. Se demander « What matters » signifie que l’on est mû par une disposition à être concerné ou responsable, ce qui atteste une position éthique radicale.

En considérant cette affinité entre « What matters » et care, on se rend compte que la question du corps se pose de manière centrale (Butler 1993, Dumouchel 1999, Pfeifer & Pitti 2012). En effet, cette perception/mise au jour des souffrances et injustices est liée à une vulnérabilité à la fois ontologique, incarnée et située. Or, ce corps n’est pas considéré comme souverain, mais comme pris dans un faisceau d’inter-dépendances (ou enchâssements et enchevêtrements pour emprunter aux registres du post-humain, du néo-matérialisme et des humanités environnementales) (Appleby & Pennycook 2017, Bogost 2012). Se demander « What matters » implique donc de poser la relationnalité des sujets, y compris et essentiellement celle de l’observateur.rice, du/de la témoin et du/de la chercheur.e.

 

Récits, Archives, Témoignages

Ce qui compte semble se placer moins du côté de la com-préhension que de celui d’une écoute renouvelée de ce qui est inaudible/invisibilisé (dans le monde), ou trop peu mis en avant (dans la recherche) ou encore trop visible et familier pour être vu/reconnu (hidden in plain sight). La problématique dessinée par What matters invite à repenser ce qui parfois échappe au monde social et que le chercheur a pour tâche de révéler (Diamond 1995, Laugier 1999, Putnam 1996). Elle demande un changement de modalité d’approche, mettant en jeu toutes les modalités de l’attention, notamment celle de l’écoute et de ses effets, dans laquelle esprit et corps sont inévitablement impliqués (Epstein 2016, Lanham 2007, Ganteau 2023).

Elle évoque la nécessité de se pencher sur les dénominations et leurs évolutions qui en viennent à changer l’objet même qu’elles désignent : le pouvoir du langage à changer le monde, à en occulter une partie (backgrounding) pour en exposer une autre de manière (trop) visible (foregrounding) est d’une importance cruciale pour saisir ce qui compte (pour qui et dans quel but) et faire compter sa parole, mais aussi pour tenter de s’affranchir de schémas cognitifs pré-établis (Khalil 2005, Talmy 2008).

Révéler ce qui compte c’est aussi plonger dans l’intimité de récits de souffrances depuis le point de vue interne de ses acteurs et actrices réelles. C’est se demander quel pouvoir détient le récit pour réparer les injustices et rendre des comptes (Balkan & Masarwa 2022, De Leon & Wells 2015, Mbembe 2006). C’est aller au plus près de l’expérience en première ou deuxième personne (Sorlin 2022) pour donner à voir et à entendre ce qu’une approche apparemment objective (en troisième personne) ne peut pas toujours appréhender.

Les archives se situent en ce sens à mi-chemin entre le témoignage de première main et la fragmentation d’un récit aux contours absents et dépendants de ce qui a été archivé et ce qui ne l’a pas été. Elles interrogent ce qui doit compter lorsqu’on s’attache à l’histoire de personnes ou de groupes sociaux, et permettent aussi de restituer, au ras des sources documentaires, les traces des priorités affirmées par les acteurs et actrices du monde social (Boltanski 1990, Foliard 2020).  A l’heure où les formes littéraires se font de plus en plus immersives et participatives (Moslund et al. 2020), il y a une phénoménologie de la lecture et de la spectature à établir, mettant en exergue le lien entre auteur.e.s, acteurs.rices, lecteurs.rices, chercheur.e.s et public (Caracciolo 2012, Hutto 2011). La littérature serait-elle dès lors une contre-archive ? Les nouvelles possibilités de panachage, notamment en poésie (source-based poetry), sont-elles la clé d’une nouvelle appréhension ? Si les traces des violences du passé laissées dans le présent sont déchiffrées à travers des méthodes d’investigation telles que l’anthropologie ou la médecine légale (forensics), la littérature ou les arts forment aussi un engagement éthique qui accompagne, soutient, voire déclenche une action politique ancrée dans le passé, mais tournée vers l’avenir.

 

Historicité, singularité, agentivité

La question du témoignage conduit à celle du moment opportun (timeliness). Le sujet de recherche « What matters » doit également être interrogé sous un angle temporel : en mettant en avant l’urgence des crises sociales et environnementales, mais aussi leurs causes historiques et effets envisageables. La temporalité de « What matters » risque cependant de ne pas être soumise à une logique strictement linéaire : elle met en œuvre des effets de latence et d’après-coup, de boucle et de reprises.

Enfin, une des caractéristiques du sujet est liée à la mise en œuvre d’une démarche doublement particulariste (Wittgenstein 1953, 1958, Cavell 1964, Laugier 1999). Se demander « What matters » implique de s’attacher à déceler des singularités et à les décrire, mais suppose aussi une démarche individuelle qui sollicite la responsabilité du sujet éthique, du/de la citoyen.ne ou/et chercheur.e. Loin de tout décalogue, le sujet qui s’interroge sur « What matters » se défait de l’emprise des cadres dominants (Butler 2009) pour contribuer à une démarche éthique et novatrice.

Embrasser la problématique What matters, c’est à la fois faire un pas de côté pour remettre en question les différents courants de pensée ou périodisations qui ont donné forme à nos productions, mais aussi faire le pas de l’expérientiel (Caracciolo 2012), au plus près des acteurs.trices dans le concret de leur expérience quotidienne.

Enfin, « What matters » est une réponse à ce qui interpelle la recherche et constitue un appel direct à son agentivité pour redéfinir l’espace commun et ce que serait un monde (co-)habitable. Elle invite à saisir comment la recherche peut faire agir et réagir, et provoquer la prise/crise de conscience (awakening).

 

Nous attendons des communications relevant des études linguistiques, littéraires, dramatiques, historiques, sociologiques, politiques, filmiques et sérielles et plus largement culturelles.

Les communications pourront porter sur les points suivants (liste non exhaustive) :

  • les logiques de visibilisation et d’invisibilisation des vies, des individus et des groupes, des expériences, et donc aussi les formes politiques et artistiques de lutte visant à faire reconnaître que des voix comptent ;
  • les mécanismes, opérations, dispositifs, instances et autorités qui sélectionnent, différencient, hiérarchisent et discriminent entre ce qui compte et ce qui ne compte pas ;
  • les conditions et contextes permettant de faire émerger la question même « What Matters » ; les cadres de perception et d’intelligibilité de ce qui est ou n’est pas audible, visible, touchable, etc. ; l’attention et ses modalités ;
  • le pouvoir du langage à changer le monde, à occulter une partie et/ou en exposer une autre ; le pouvoir du récit à réparer des injustices et rendre des comptes ; le rôle des sources et archives et celui des contre-archives littéraires ;
  • les enjeux éthiques du questionnement « What Matters », l’attention à l’altérité, à la singularité et à la vulnérabilité ; les inter-dépendances et la relationnalité des sujets, y compris des observateurs-rices, témoins, chercheur-euses ; les dimensions temporelle et contextuelle/particulière du questionnement « What Matters » et la façon dont il interpelle nos catégories de pensée et l’activité de recherche.

 

Bibliographie indicative 

Appleby, Roslyn, and Alastair Pennycook. “Swimming with Sharks, Ecological Feminism and Posthuman Language Politics.” Critical Inquiry in Language Studies 14-2.3 (2017): 239-61.

Balkan, Osman, and Yumna Masarwa. “The Transnational Afterlives of European Muslims”. Comparative Studies of South Asia, Africa and the Middle East 42.1 (2022): 221‑36.  https://doi.org/10.1215/1089201X-9698255

Baron, Jaimie. The Archive Effect. Found Footage and the Audiovisual Experience of History. New York and Oxon: Routledge, 2014.

Bogost, I. Alien Phenomenology; Or what It’s like to Be a Thing. Minneapolis: University of Minnesota Press, 2012.

Boltanski, Luc. « Ce dont les gens sont capables. » L’amour et la justice comme compétences. Paris : Métailié (1990): 13-13.

Bond, Chelsey J., Lisa J. Whop, David Singh, and Helena Kajlich. « Now we say Black Lives Matter but... the fact of the matter is, we just Black matter to them .»  Medical Association Journal 213.6 (2020): 248-251.

Brown, Nadia E., Ray Block Jr., and Christopher T. Stout. The Politics of Protest: Readings on the Black Lives Matter Movement. Oxon : Routledge, 2021.

Butler, Judith. Bodies that matter: On the discursive limits of sex. London and New York: Routledge, 1993.

Butler, Judith. Frames of War: When is life grievable? London: Verso, 2009.

Callahan, Kathe, Melvin J. Dubnick, and Dorothy Olshfsky. “War Narratives: Framing Our Understanding of the War on Terror.” Public Administration Review 66.4 (2006): 554-568.

Caracciolo, Marco. “Narrative, Meaning, Interpretation: An Enactivist Approach.” Phenomenology and the Cognitive Sciences 11.3 (2012): 367-384.

Cavell, Stanley. “Must We Mean What We Say?” In V. C. Chappell (ed.), Ordinary Language. Englewood Cliffs: Prentice-Hall, 1964 [1958], 75-112.

Chambers, Samuel A. Capitalist Economics. New York: Oxford University Press, 2022.

De Leon, Jason and Michael Wells. The Land of Open Graves: Living and Dying on the Migrant Trail. Oakland: University of California Press, 2015.

Diamond, Cora. The Realistic Spirit: Wittgenstein, Philosophy, and the Mind. Cambridge and London: MIT Press, 1995.

Dixon, Wheeler Winston. Film and Television After 9/11. Carbondale: Southern Illinois University Press, 2004.

Drakulich, Kevin M. “Explicit and Hidden Racial Bias in the Framing of Social Problems.”  Social Problems 62.3 (2015): 391–418.

Drakulich, Kevin, Kevin H Wozniak, John Hagan, and Demon Johnson. “Whose lives mattered? How White and Black Americans felt about Black Lives Matter in 2016.” Law & Society Review 55.2 (2021): 227-251.

Dumouchel, Paul. Emotions. Essai sur le corps et le social. Paris : Les Empêcheurs de tourner en rond, 1999.

Epstein, Andrew. Attention Equals Life. The pursuit of the everyday in contemporary poetry and Culture. Oxford: OUP, 2016.

Foliard, Daniel. Combattre, punir, photographier : empires coloniaux, 1890-1914. Paris : La Découverte, 2020.

Francis, Megan Ming, and Leah Wright-Rigueur. “Black Lives Matter in Historical Perspective”. Annual Review of Law and Social Science 17:1 (2021): 441-458

Fricker, Miranda. Epistemic Injustice. Power and the Ethics of Knowing. Oxford and New York: OUP, 2007.

Gaines, Jane M. Pink-Slipped: What Happened to Women in the Silent Film Industries? Champaign, Illinois: University of Illinois Press, 2018.

Gaines, Jane M. “Documentary Radicality.” Revue Canadienne d’Études Cinématographiques / Canadian Journal of Film Studies 16, no. 1 (2007): 5–24. http://www.jstor.org/stable/24408065

Ganteau, Jean-Michel. The Poetics and Ethics of Attention in Contemporary British Narrative. New York and London: Routledge, 2023.

Hutto, Daniel D. “Understanding fictional minds without Theory of Mind.” Style 45.2 (2011): 276-282.

Khalil, Esam N. “Grounding between figure-ground and foregrounding-backgrounding.” Annual Review of Cognitive Linguistics 3.1 (2005): 1-21.

Lanham, Richard A. The Economics of Attention. Style and Substance in the Age of Information. Chicago: Chicago University Press, 2007.

Laugier, Sandra. Du réel à l’ordinaire. Quelle philosophie du langage aujourd’hui ? Paris: Vrin, 1999.

Le Blanc, Guillaume. L’invisibilité sociale. Paris: PUF, 2009.

Macé, Marielle. Sidérer, considérer. Migrants en France, 2017. Lagrasse: Verdier, 2017.

Mbembe, Achille. « Necropolitics ». Raisons politiques 21.1. (2006): 29‑60.

Michlin, Monica, Jean-Paul Rocchi (eds). Black Intersectionalities: A Critique for the 21st Century. Liverpool: Liverpool University Press, 2013.

Moi, Tori. Revolution of the Ordinary. Literary Studies after Wittgenstein, Austin and Cavell. Chicago and London: The University of Chicago Press, 2017.

Moslund, Sven Pulz, et al. How Literature Comes to Matter? Post-Anthropocentric Approaches to Fiction. Edinburgh: Edinburgh UP, 2020.

Pfeifer, Rolf, and Alexandre Pitti. La Révolution de l’intelligence du corps. Paris: Manuela, 2012.

Putnam, Hilary. Realism with a Human Face. Cambridge, MA: Harvard UP, 1996.

Simmons Alicia D. “Whose Lives Matter ?: The National Newsworthiness of Police Killing Unarmed Blacks.” Du Bois Review: Social Science Research on Race 14.2 (2017): 639-663. 

Sorlin, Sandrine. The Stylistics of ‘You’. Second-Person and its Pragmatic Effects. Cambridge: CUP, 2022.

Talmy, Leonard. Aspects of attention in language. In Peter Robinson and Nick C. Ellis (eds.), Handbook of cognitive linguistics and second language acquisition. New York: Routledge (2008): 37-48.

Taylor, Keeanga-Yamahtta. From #BlackLivesMatter to Black Liberation. Chicago : Haymarket, 2016.

Thévenot, Laurent. « L'économie du codage social ». Critiques de l'économie politique 23-24 (1983) : 188-222.

Tronto, Joan C. Moral Boundaries: A Political Argument for an Ethic of Care. London and New York: Routledge, 2015.

Vermeulen, Pieter. Literature and the Anthropocene. Oxon and New York: Routledge, 2020.

Vermeulen, Pieter. Contemporary Literature and the End of the Novel: Creature, Affect, Form. Basingstoke and New York: Palgrave Macmillan, 2015.

Wittgenstein, Ludwig. Philosophical Investigations. (tr. G. E. M. Anscombe). Oxford: Blackwell. 1953.

Wittgenstein, Ludwig. The Blue and Brown Books. New York: Harper and Row, 1958.

Zhang, Yini, Dhavan Shah, Jordan Foley, Aman Abhishek, Josephine Lukito, Jiyoun Suk, Sang Jung Kim, Zhongkai Sun, Jon Pevehouse, and Christine Garlough. “Whose Lives Matter? Mass Shootings and Social Media Discourses of Sympathy and Policy, 2012–2014.” Journal of Computer-Mediated Communication 24.4 (2019): 182–202.

 

Date limite d’envoi des propositions (300 mots + bibliographie) aux organisateurs (jean-michel.ganteau@univ-montp3.fr,marc.lenormand@univ-montp3.fr,sandrine.sorlin@univ-montp3.fr) : 8 novembre 2024. Les décisions du comité scientifique seront communiquées début décembre. Une publication est prévue.

 

Invité.e.s :

Marco Caracciolo (Ghent University)

Sandra Laugier (Paris 1 Panthéon Sorbonne)

Fiona McCann (Université de Lille)

 

Comité d’organisation

Isabelle Brasme, Anne Crémieux, Karim Daanoune, Florence Floquet, Jean-Michel Ganteau, Marc Lenormand, Théo Maligeay, Eric Mélac, Nancy Nalbandian, Niaz Pernon, Constance Pompié, Sandrine Sorlin.

 

Comité scientifique

Rosario Arias (Malaga)
Giuditta Caliendo (Université de Lille)
Samuel A. Chambers (Johns Hopkins)
Claude Chastagner (Montpellier 3)
Vincent Dussol (Montpellier 3)
Marianne Drugeon (Montpellier 3)
Jane M. Gaines (Columbia) en attente
Monica Michlin (Montpellier 3)
Judith Misrahi-Barak (Montpellier 3)
Claire Omhovère (Montpellier 3)
Susana Onega (Zaragoza)
Alexandra Poulain (Sorbonne nouvelle)
Claudine Raynaud (Montpellier 3)
Olivier Tinland (Montpellier 3)
Pascale Tollance (Lyon 2)
Pieter Vermeulen (KU Leuven)

Dernière mise à jour : 11/09/2024